« Vous avez compris que ce n'était pas un scrutin », s'est-il adressé à la population de Ngazidja qui, selon lui, « a refusé la réforme constitutionnelle ».
Pour Mohamed Abdouloihabi qui s'exprimait au nom de son gouvernement, de celui de Mohéli et au nom des assemblées de l'Union et de Ngazidja, les changements annoncés ne sont même pas une réalité. « Ce qui va changer, ce sont les dénominations, mais les institutions restent presque les mêmes, et les conflits de compétences vont persister, notamment au niveau de l'éducation, de la santé et de l'agriculture ».
Et comme une façon de prendre acte des résultats du référendum, le futur gouverneur de Ngazidja appelle le chef de l'Etat à « revenir aux Comoriens pour l'instauration des nouvelles institutions ».
« Nous allons nous préparer pour les législatives et nous demandons leur organisation le plus vite possible», a-t-il lancé, convaincu que le seul moyen de pousser Sambi à la porte en 2010 c'est de lui priver de majorité à l'assemblée de l'Union et aux Conseils des îles.
nodjelebwe, Posté le lundi 01 juin 2009 19:49
il me fait rire ce mec il croie vraiment qu'il as la capaciter de gouverner le pays revien a la place d'aix ta place t'attand dans 1 ans comme les autres une foie qu'ils sont plus au pouvoir ils quites le pays bravo un jour viendras vous rendrais de contes